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HL • Chapitre 12 🔍
by Ruyi ♡Avertissement
Ce passage contient de la maltraitance animalière. Pour ceux que cela pourrait déranger, je vous recommande de sauter cette partie et de reprendre la lecture plus bas. Je mettrai en gras là où vous pourriez reprendre.
« Non ! Non ! Je ne veux pas… »
Lù Cāng se débattait de toutes ses forces. Même s’il allait mieux que les jours précédents, il n’avait pas la capacité de résister à Jìng, dont la force et l’endurance semblaient inhumaines.
Celui-ci le déposa sur un lit recouvert de draps bleu nuit, puiq il sentit son corps s’écraser lourdement sur lui.
« Trop… Lourd… » gémit-il. Mais Jìng l’ignora complètement.
Peut-être à cause de son abstinence prolongée, il semblait plus pressé que jamais. Il déchira les vêtements de Lù Cāng à la hâte, sa main s’enfonçant avec avidité dans son pantalon. Ses doigts trouvèrent une chair encore molle qu’il serra sans ménagement.
« Aïe ! » s’écria Lù Cāng, incapable de retenir un cri. « Ça… Fait mal… »
« Tes blessures de l’autre fois n’ont toujours pas guéris ? »
La voix de Jìng trahissait une légère trace de culpabilité. Il se souvenait très bien de ce qui s’était passé au Maison Tōnghuà — quand, submergé par la colère, il avait enfoncé une fine tige dans le sexe de Lù Cāng et l’avait fait hurler de douleur.
Lù Cāng le regarda avec étonnement. Dans ses souvenirs, Jìng n’était qu’un démon de luxure dissimulé sous de beaux traits. Qu’il se soucie aujourd’hui de son état était pour le moins surprenant.
À moins qu’il cherche encore à obtenir quelque chose de moi ?
« Ça va… À peu près. »
Mais ses réflexes avait parlé avant sa raison. Dès que les mots franchirent ses lèvres, Lù Cāng les regretta amèrement. N’était-ce pas là une invitation à le violenter ?
Effectivement, un sourire d’une beauté renversante éclaira les lèvres de Jìng, juste avant qu’il ne passe à l’action comme un ouragan.
Il arracha les derniers lambeaux de tissu qui couvraient Lù Cāng, puis ses lèvres descendirent à toute vitesse — le cou, la poitrine, le ventre — avant de fondre sur l’endroit le plus sensible de son corps.
« Que les cieux me viennent en aide… »
Pris de panique, Lù Cāng tenta de repousser la tête de Jìng, mais celui-ci s’accrochait à lui comme une sangsue, ses lèvres collées entre ses cuisses. Sa langue, vive et habile, léchait et tourbillonnait sans répit. Lù Cāng sentit son sang affluer violemment vers le bas, étant incapable de se contrôler.
Jìng l’avait déjà forcé à lui faire une fellation par le passé, mais de son côté, il n’avait jamais fait preuve d’autant de… Zèle. Jusque-là, ses soi-disant « préliminaires » se résumaient à des frottements brutaux, à une pénétration sauvage, à des va-et-vient sans tendresse jusqu’à l’éjaculation. Jamais il n’était allé aussi loin.
« Tu es complètement fou ! » murmura faiblement Lù Cāng, incapable de se maîtriser.
L’habileté de Jìng le rendait fou. À chaque fois que leurs regards se croisaient, les reflets lubriques dans les yeux parfaits de Jìng le faisaient frémir de désir malgré lui.
« Lâche-moi… S’il te plaît… »
Ne pouvant rivaliser physiquement, Lù Cāng n’avait d’autre choix que d’opposer une maigre résistance verbale. Mais sa voix tremblait, ses tempes ruisselaient de sueur et son érection naissante rendaient sa protestation peu convaincante.
Les mains de Jìng remontèrent le long de sa taille, effleurant sa peau moite devenue douce sous les caresses, avant de redescendre vers ses reins. Ses doigts habiles traçaient les contours de ses fesses, cherchant lentement à écarter l’étroite fente.
« Mmh… »
Quand les doigts de Jìng effleurèrent l’entrée de son intimité, Lù Cāng en perdit presque sa voix.
« Tu… Tu devrais t’arrêter… Sinon je vais… »
Il rassembla toute sa volonté pour le prévenir, sentant déjà la chaleur incontrôlable s’accumuler dans son bas-ventre, prête à jaillir.
Sans même lever la tête, Jìng mordit brutalement son gland — un jet brûlant jaillit aussitôt, atterrissant directement dans la bouche impériale de Sa Majesté Xuānyuán Jìng.
Celui-ci, bien que responsable de cette réaction, resta un instant bouche bée, figé par la surprise. Le sperme de Lù Cāng dégoulinait lentement du coin de ses lèvres, le laissant dans une posture grotesque, entre stupeur et confusion.
Un silence pesant s’installa.
Lù Cāng l’observa, inquiet, redoutant qu’il ne soit de nouveau la cible de sa violence. Il savait à quel point les crises de colère de Jìng étaient imprévisibles.
Mais après un bref instant, un sourire naquit sur les lèvres de l’empereur — une beauté éphémère, aussi fascinante qu’une fleur de nuit*, qui lui coupa le souffle.
(N/T : Tánhuā (昙花), ou « night-blooming cereus » en anglais, est une grande fleur blanche surnommée « reine de la nuit ». Elle est célèbre pour sa floraison aussi brève que spectaculaire : elle n’éclot que la nuit, parfois une seule fois dans l’année, ce qui en fait un symbole de beauté éphémère.)
« Goûte un peu toi aussi… »
Profitant que Lu Cang soit encore étourdi par son sourire, Jìng s’empara brutalement de ses lèvres.
Le liquide épais circula entre leurs bouches mêlées, son amertume atténuée par l’intimité du moment. Ce moment était rempli d’une rare tendresse. Dans cette étreinte silencieuse, Lù Cāng avala jusqu’à la dernière goutte de ce que Jìng avait recueilli.
« C’est différent du mien, pas vrai ? » ne put s’empêcher de taquiner Jìng, voyant le visage déjà hâlé de Lù Cāng rougir à vue d’œil.
D’une main légère, il glissa ses doigts sous lui, cherchant à le retourner.
Pris de panique, Lù Cāng tenta de bloquer le geste, mais força trop sur ses bras. Il s’échappa de l’étreinte de Jìng et retomba lourdement sur le lit.
« Non… Non, pas par là… Je ne suis pas encore tout à fait guéri à cet endroit… »
Oubliant la douleur qui lui vrillait la colonne, il repoussa timidement les intentions évidentes de Jìng.
Son orifice, qui avait été brutalement malmené la fois passée, n’avait toujours pas cicatrisé. Chaque passage aux toilettes était un supplice, alors comment aurait-il pu supporter de nouveau le membre surdimensionné de cet homme ?
Jìng fronça les sourcils. « Et donc, tu veux que je fasse quoi ? »
Sans la moindre gêne, il désigna son sexe dressé, exigeant une solution.
« Ça… Ça ne me regarde pas ! Tu n’avais qu’à y aller moins fort, la dernière fois… » tenta de rétorquer Lù Cāng, luttant pour contenir sa honte. Mais il n’osait pas trop irriter ce tyran.
Voyant l’ombre d’une colère assombrir le visage de Jìng, il se jeta sur lui, paniqué.
« Non ! Non ! Je… Je peux utiliser ma bouche… Juste ma bouche… »
Sa voix tremblait, teintée de peur. Il redoutait les méthodes impitoyables de Jìng.
Le sourire charmeur de Jìng revint. Il s’affala en arrière et prit appui sur ses bras. Cela lui donna une posture qui fit onduler sa silhouette sculpturale en une courbe d’une sensualité envoûtante.
« Tu l’as dit toi-même. Ne le regrette pas. »
D’un geste obscène et lascif, il pointa son entrejambe, invitant Lù Cāng à tenir sa promesse.
Le visage en feu, Lù Cāng fixait, horrifié, cette partie pourtant familière – il en possédait une lui aussi, mais celle de Jìng le plongeait dans une honte si cuisante qu’il aurait voulu disparaître.
« Alors ? Tu comptes t’y mettre, ou faut-il que je m’en charge moi-même ? »
L’impatience dans la voix de Jìng se teintait d’une menace à peine voilée. Serrant les dents, Lù Cāng se pencha, les yeux fermés, vers son membre dressé sur les draps.
« Hé, tu vises où, là ? »
Jìng lui attrapa la tête, alignant son érection avec ses lèvres.
« Ouvre la bouche. » ordonna-t-il.
Résigné, Lù Cāng obéit. Aussitôt, un membre imposant s’enfonça dans sa bouche, la remplissant presque instantanément, l’empêchant par la même occasion de respirer.
« Mmh… »
Impuissant, les larmes lui montèrent aux yeux, ses mains s’agrippaient en vain aux cuisses de Jìng. Mais la poigne de ce dernier, implacable sur sa nuque, l’empêchait de recracher quoi que ce soit.
« Serre bien les lèvres, ne laisse aucune espace… Avale lentement… » Jìng le guidait tout en s’enfonçant plus profondément dans sa gorge.
« Ghk… »
Lù Cāng eut un haut-le-cœur quand le membre atteignit sa gorge, mais Jìng poursuivit sans la moindre pitié.
Sa verge s’enfonça jusqu’au fond de sa gorge et commença à gonfler. Stimulée par la chaleur et l’humidité, elle dilata son pharynx sur son passage.
« Lèche… Tourne doucement la langue… Surtout, n’utilise pas tes dents… »
Le visage écarlate, Lù Cāng ne pouvait respirer que par le nez. Il s’efforçait de suivre les instructions de Jìng et de s’habituer à sa taille imposante, mais il en était totalement incapable. Il ne pouvait pratiquement qu’haleter sèchement, la bouche pleine.
« Quel élève médiocre ! »
Jìng, agacé, lui tapota la tête. « Bon, laisse-moi t’aider. »
Une détresse profonde étreignit Lù Cāng, le submergeant comme une marée noire. Ce n’était pas la première fois qu’il se retrouvait contraint à une telle humiliation, mais cette fois, une part de lui y consentait presque, ce qui ne faisait qu’accentuer sa honte. Incapable de se contenir, des larmes de honte finirent par couler, venant s’écraser sur l’intimité de Jing, là où leurs corps se rejoignaient dans cette posture à la fois étrange et douloureusement intime.
Cette soumission excita davantage Jìng, qui raffermit sa prise et se mit bouger lentement, se délectant de la bouche chaude et humide qui l’enveloppait.
« Magnifique… »
Un gémissement lui échappa. Le membre dans sa bouche se mit à tressaillir de plus en plus, irradiant au passage une chaleur torride, signe de sa jouissance imminente.
« Mmh… Mmh… »
Paniqué, Lù Cāng se mit à agiter ses mains, et tenta de se dégager, mais Jìng le maintenait fermement et l’empêcha de bouger.
« Ah… » laissa échapper Jìng dans un souffle excité, tandis qu’une sécrétion translucide perlait au bout de son sexe, puis s’écoula en un mince filet jusqu’au fond de la gorge de Lù Cāng.
« Lâ… Che… Moi… » parvint à articuler Lù Cāng avec difficulté, mais le moment était des plus mal choisis —
À cet instant précis, le flot brûlant de Jìng jaillit violemment, et une bonne partie s’engouffra dans la trachée de Lù Cāng qui tentait de parler.
Fin de l’avertissement.
« Koff koff… Koff… »
Voyant Lù Cāng au bord de l’étouffement, Jìng se retira précipitamment. Lù Cāng s’écroula sur le lit, pris d’une quinte de toux, lui offrant alors un spectacle des plus pitoyables.
Alors qu’il essayait de reprendre ses esprits, Jìng lui tapota le dos, envahi d’un certain remords. Une fois de plus, emporté par l’excitation, il avait blessé Lù Cāng.
« Tu… Tu… »
À peine ses quintes de toux calmées, Lù Cāng sentit une vague de détresse l’envahir. Incapable de la contenir, il éclata en sanglots.
« Pourquoi… Pourquoi, à chaque fois… Tu ne t’arrêtes que lorsque je suis dans cet état ? Qu’est-ce que je t’ai fait pour mériter ça ? » cria-t-il, submergé par son désarroi.
Jìng le regarda en silence —
Puis, soudain, l’attira contre lui dans une étreinte.
« Tu ne veux vraiment pas rester avec moi ? Je peux t’offrir une richesse que tu ne trouveras nulle part ailleurs… Et même te donner un plaisir que personne d’autre ne pourrait t’apporter. Qu’est-ce qui te manque, hein ? »
C’était sans doute la promesse la plus douce que Jìng ait jamais pu faire.
« Je ne veux pas — je refuse ! » Lù Cāng se débattait, hystérique. « Une richesse qui piétine ma dignité, je préférerais mourir ! »
« Soit. Je t’offrirai la liberté. » dit Jìng avec gravité.
Lù Cāng cessa aussitôt de se débattre, le regardant, interdit.
« Si tu participes au Tournoi des Héros et que tu fais partie des cent derniers survivants, je te rendrai ta liberté et te donnerai l’antidote du Bìxiāo*. » Jìng annonça cela avec gravité, mais nul n’aurait pu deviner quel complot se tramait derrière son sourire.
(N/T : Bìxiāo (碧宵) est le nom de la drogue qu’il lui a donné. Le terme peut se traduire par « nuit azurée » ou « ciel nocturne bleu-vert ». « Bì » (碧) désigne à la fois une teinte bleu-vert (souvent traduite par azure) et un type de jade vert. Alors que « Xiāo » (宵) désigne la « nuit » ou « soirée ».)
Lù Cāng réfléchit, abasourdi : c’était peut-être sa seule chance d’échapper à cet homme terrifiant. Et bien que ses compétences martiales ne soient pas les meilleures du monde des arts martiaux, se classer parmi les cent premiers ne devrait pas être impossible.
« D’accord. J’accepte. » Il rassembla son courage et hocha la tête.
« Mais si tu échoues… » Le sourire froid de Jìng suffisait à illustrer les conséquences.
« Mon sort serra entre tes mains. » Lù Cāng, déterminé à tout risquer, prononça ces horribles mots avec fermeté, sans plus aucune possibilité de faire marche arrière*.
(N/T : L’expression 破釜沉舟 (pò fǔ chén zhōu) signifie littéralement « casser des marmites et couler des bateaux ». Elle provient de l’histoire de Xiang Yu (项羽), célèbre roi rebelle, qui s’est battu contre la dynastie Qin. Celui-ci avait ordonné à ses troupes de détruire leurs navires après qu’ils aient traversé la rivière Zhang, afin que aucun d’entre eux ai l’envie de fuire et qu’ils se mettent à fond dans le combats. Depuis, cette expression symbolise un engagement total sans possibilité de retour. Ironiquement, Xiang Yu fut finalement vaincu par Liu Bang, futur fondateur de la dynastie Han.)
« Alors, nous avons un accord. »
L’expression de Jing était inhabituelle — calme, mais empreinte d’une noblesse indéniable, au point qu’il était impossible de douter de sa parole. Lu Cang, subjugué par son aura, ne put que acquiescer en silence.
Ce chapitre vous est présenté par la Dragonfly Serenade : Traductrice • Ruyi ⋄ Correctrice • Ruyi
・.ʚ Voilà la fin du chapitre ɞ .・

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