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    « Retire tes vêtements. »

    Maxi observa son nouveau mari avec appréhension. Elle était perplexe. Lorsque le festin de noces prit fin, sa nourrice l’avait conduite par la main jusqu’à la chambre nuptiale. Après que ses servantes l’eurent baignée, elles l’avaient laissée seule, et elle était assise sur le lit lorsqu’il entra dans la pièce.

    Incapable de deviner ses intentions, Maxi le fixa, les yeux écarquillés. Elle ne comprenait pas pourquoi l’homme qui l’avait ignorée pendant la cérémonie formulait une demande aussi soudaine. Elle savait vaguement que des choses inavouées se déroulaient entre les couples mariés dans l’intimité de leur chambre, mais personne ne lui en avait jamais expliqué les détails.

    Sa nourrice lui avait inculqué qu’elle devait obéir aux ordres de son mari. Elle devait rester immobile, quoi qu’il fasse. Mais retirer ses vêtements ? Ce n’était pas une consigne à laquelle elle s’attendait. Et devait-elle obéir sans poser de questions ?

    Riftan Calypse retira sa tunique par-dessus sa tête et lui lança un regard impatient en s’approchant.

    « Dois-je le faire moi-même ? »

    Maxi étouffa un cri en voyant son corps. Les muscles de Riftan ressemblaient à des cordes d’acier, et ses épaules étaient deux fois plus larges que les siennes. Son cou était long et puissant, et son torse se rétrécissait en une taille fine et tendue.

    Maxi avait entendu dire que Riftan était un géant, même parmi les chevaliers, mais le voir de ses propres yeux était bouleversant. Sa bouche devint sèche. Quelques coups de son père suffisaient à lui causer une douleur insupportable. Survivrait-elle si un homme comme Riftan décidait de la frapper ?

    « On dirait que tu viens de voir un monstre », dit Riftan.

    Maxi tressaillit. Son ton était glacial, et il franchit la distance jusqu’au lit d’un seul pas, plantant son regard interrogateur dans le sien. Baigné par la lumière chaleureuse du feu, son corps scintillait d’un bronze éclatant. Il remplissait entièrement son champ de vision.

    « Me trouves-tu repoussant ? »

    « Je… Je… »

    Il se pencha vers elle. Deux yeux noirs, enchâssés dans un visage presque parfait, brillaient d’une lueur inquiétante. Sa bouche, fermée et crispée, se tordit en un sourire cynique.

    « Comment pourrais-je, un simple chevalier, satisfaire la fière fille d’un duc ? »

    Le mépris dans sa voix fit frissonner Maxi. Elle était à sa merci. S’il le voulait, il avait le droit de la fouetter et de lui infliger les pires châtiments. Réalisant qu’elle avait attiré son mépris, elle se mit à transpirer froidement.

    « Allez. Accomplis tes devoirs conjugaux. »

    Maxi voulait demander quels étaient ces devoirs, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Elle fixa ses pieds alors que son ombre s’étendait sur elle. Un long doigt calleux se tendit pour lui relever le menton. Il y avait quelque chose de subtil dans le regard de Riftan, quelque chose qu’elle ne parvenait pas à déchiffrer.

    « Un mariage est annulé s’il n’est pas consommé, dit-il. Veux-tu me quitter ? »

    Elle trembla violemment. À tout moment, elle pourrait se noyer dans les profondeurs obscures de ses yeux, mais il ne fit que ricaner.

    « Parle maintenant, si tu veux que je parte. »

    « … »

    « Une fois que nous aurons commencé, je ne m’arrêterai pas. »

    La langue de Maxi resta collée à son palais. Son père ne lui pardonnerait jamais si elle le laissait partir. Elle n’avait jamais eu son mot à dire dans cette affaire. Elle ferma les yeux et entreprit de défaire sa ceinture de ses doigts tremblants.

    Elle redoutait davantage la colère de son père que la honte qu’elle subirait aux mains de cet homme inconnu. Si elle échouait ici, son père ne se contenterait pas d’un simple châtiment. Il la punirait cruellement, et en quelques jours, elle se retrouverait à nouveau dans cette même chambre, face à un autre chevalier. Pour son père, elle n’était rien de plus qu’un outil.

    Maxi retira ses bijoux, pièce par pièce, et les posa près du lit. Un silence étouffant s’installa entre eux, uniquement interrompu par le crépitement du bois dans la cheminée. Le regard de Riftan pesait sur elle alors qu’elle faisait glisser les bretelles de sa robe de lin et retirait ses bras des manches ornées de volants.

    L’air froid de la nuit fouetta son dos et ses épaules nus. N’osant pas se dénuder davantage, elle s’arrêta et serra la robe contre sa poitrine. Mais avant qu’elle puisse hésiter davantage, Riftan monta sur le lit et tira sa robe vers le bas.

    « A-Attendez… Attendez ! »

    La robe glissa de son corps avant qu’elle ne puisse l’en empêcher. Elle s’agrippa désespérément à sa jupe, tandis que l’impatience de Riftan devenait de plus en plus palpable.

    « Enlève tes mains. »

    « P-Pourquoi est-ce que vous… V-vous tirez… »

    Elle leva les yeux vers lui, les siens grands ouverts de confusion. Son visage était dissimulé dans l’ombre, se détachant contre la lumière, et elle ne pouvait distinguer son expression. Cela accentuait sa peur.

    « Veux-tu que je parte ? » demanda Riftan. « Décide-toi. »

    Maxi réprima un sanglot. Elle baissa les mains à contrecœur, et la robe glissa jusqu’à sa taille. Riftan la fit descendre encore plus bas avant de la jeter au sol.

    « Il n’y a plus de retour en arrière. » Sa voix grave glaça le cœur de Maxi.

    Lorsque ses mains rugueuses et chaudes effleurèrent son corps tendu, elle le repoussa instinctivement, mais il resserra son étreinte, passant un bras ferme autour de sa taille. Peau contre peau, son corps dégageait une chaleur troublante. Pour une raison que Maxi ne comprenait pas, cette chaleur lui provoqua un frisson incontrôlable.

    « P-Pas si près… » balbutia-t-elle.

    Il poursuivit son geste, comme s’il n’avait pas entendu sa supplication hésitante, et se pencha pour déposer ses lèvres sur sa poitrine. Maxi ouvrit de grands yeux, figée par le choc.

    Des lèvres chaudes, glissant sur une peau douce. Un frisson parcourut son corps à cette sensation inconnue. Lorsqu’il enfouit son visage contre sa poitrine, tel un nouveau-né, son esprit se vida complètement.

    « Détends-toi. » De sa paume calleuse, il caressa son dos, désormais figé par la peur. Son souffle humide laissait des frissons sur son passage.

    Frottant son menton contre sa peau tendre, il glissa une main sous le vêtement qui recouvrait sa taille. Ce contact surprit Maxi, et ses lèvres tremblèrent. Jamais elle n’aurait imaginé qu’un homme puisse un jour s’aventurer sur cette partie de son corps.

    « Q-Que faites-vous ? » balbutia-t-elle.

    « Reste immobile. Ça fera mal si tu ne te détends pas. »

    Des lèvres chaudes, glissant sur une peau douce. Un frisson parcourut son corps à cette sensation inconnue. Lorsqu’il enfouit son visage contre sa poitrine, tel un nouveau-né, son esprit se vida complètement.

    « Détends-toi. » De sa paume calleuse, il caressa son dos, désormais figé par la peur. Son souffle humide laissait des frissons sur son passage.

    Frottant son menton contre sa peau tendre, il glissa une main sous le vêtement qui recouvrait sa taille. Ce contact surprit Maxi, et ses lèvres tremblèrent. Jamais elle n’aurait imaginé qu’un homme puisse un jour s’aventurer sur cette partie de son corps.

    « Q-Que faites-vous ? » balbutia-t-elle.

    « Reste immobile. Ça fera mal si tu ne te détends pas. »

    Les jambes de Maxi s’agitaient dans une lutte vaine. Elle n’avait échangé que quelques salutations avec cet homme, et voilà qu’il touchait ses parties les plus intimes avec une désinvolture troublante.

    « J–J-Je vous en prie ! Ne… »

    Elle s’agrippa à ses épaules larges, le suppliant du regard. À son tour, elle se mit à trembler, son corps parcouru de frissons incontrôlables. Ses mains semblaient brûler au contact de sa peau ferme et lisse, comme si elle touchait un fer incandescent.

    Les lèvres de Riftan tressaillirent, mais aucun mot ne franchit ses lèvres. À la place, il lui donna un baiser brutal, empreint d’une sauvagerie indomptable. Maxi, déboussolée, tentait encore de comprendre ce qui se passait lorsqu’il retira le dernier vêtement qui couvrait son corps.

    Elle poussa un cri de protestation, vite étouffé par un nouveau baiser.

    « Bon sang… » souffla Riftan, ponctuant ses paroles d’un mélange de jurons et de gémissements. Maxi, cherchant désespérément de l’air, se sentait comme un poisson hors de l’eau. Il franchissait des limites qu’elle n’avait jamais imaginées.

    Elle agita ses jambes en signe de résistance, mais elles furent rapidement immobilisées sous le poids de son corps inflexible. Elle se retrouvait prise au piège, vulnérable, comme un animal sans défense pris entre les mâchoires d’un loup.

    « Bon sang. Je ne peux plus me retenir… » murmura-t-il, impatient, tandis que ses doigts s’enfonçaient toujours plus profondément en elle. Le souffle de Maxi resta coincé dans sa gorge. Elle avait depuis longtemps oublié les instructions de sa servante, qui lui avait conseillé de se soumettre docilement à la volonté de son mari. Sous ses caresses, son corps se tendait et tressaillait, des sensations inconcevables la submergeant alors qu’elle haletait, impuissante.

    « N-Non ! N-Non… Oh ! » Ses luttes et protestations étaient vaines. Il n’y avait aucun moyen d’échapper à la brûlure de sa bouche et à ses caresses rugueuses. Elle s’agrippa désespérément au coussin sous sa tête.

    Elle n’arrivait pas à croire qu’une chose si grotesque lui arrivait. Ses yeux brûlaient, et son esprit semblait s’effondrer, pris dans une tempête impossible à calmer.

    Qu’est-ce qui m’arrive ?


    ・.ʚ Voilà la fin du chapitre ɞ .・

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