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Chapitre 05 – Un sacrifice pour l’antidote
par RuyiCe chapitre vous est présenté par la Dragonfly S. :
• Traductrice : Ruyi
• Correctrice : Ruyi
« Comment veux-tu que je te donne l’antidote si tu ne retires pas tes vêtements ? Si tu traînes trop, tes entrailles finiront par te démanger au point de te rendre fou. Tu finiras par supplier des hommes de te pénétrer pour te soulager ! » Les paroles vulgaires qu’il prononçait ne concordaient pas du tout avec son apparence raffinée et sa beauté éblouissante. Malgré tout, Jìng continua à agir comme si de rien n’était.
Lù Cāng resta cloué au sol, totalement choqué, ne sachant pas s’il devait partir la tête haute ou endurer une autre humiliation pour obtenir l’antidote.
Sentant son hésitation, Jìng se leva et s’avança vers lui. Arrivé à son niveau, il tendit la main et attira Lù Cāng dans ses bras. « Āi yā, un homme avisé ne subit pas de perte inutile. Pour l’instant, supporte juste un peu… Une fois l’antidote obtenu, que tu veuilles jouer les inaccessibles ou me tuer pour te venger, fais comme bon te semble… »
Alors qu’il parlait, ses mains n’étaient pas en reste. À chaque fois qu’il le touchait, Lù Cāng perdait un bout de vêtements, jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus que ses sous-vêtements. Le laissant à la fin dans sa sous-robe et exposant plus de la moitié de sa peau douce et soyeuse à l’air libre.
Il se retrouva dans une proximité si intime quand l’homme l’enlaça. Ses yeux furent envahis par la vision de sa beauté (et il a fallu ce soit précisément celui qui le rendait vulnérable). Le parfum enivrant de l’encens, dont il ignorait la provenance, mais qui était néanmoins intoxicant. Cela combiné par l’effet de la drogue le rendit impuissant fasse à la situation. Lorsque le dernier vêtement, son seul rempart, lui fut enlevé, il se retrouva pressé dans le lit luxurieux qui avait été soigneusement préparé.
Dès que les lèvres brûlantes de Jìng se posèrent sur sa poitrine, il sentit toute sa résistance fondre comme neige devant le soleil. L’endroit qui était maintenant inutile aux femmes, se dressa dès que Jìng le caressa d’un mouvant de main. C’était comme si elle était ensorcelée.
Amusé par les paroles et la réaction contradictoires de Lù Cāng, Jìng renforça cruellement sa prise, renforçant les caresses qui lui prodiguaient. Lù Cāng ressentit une chaleur incontrôlable lui monter à la tête et se couvrit précipitamment la bouche de sa main, craignant de laisser échapper un gémissement honteux.
« Ne te couvre pas la bouche ! », lui ordonna Jìng d’un ton impérieux. Puis, il saisit fermement la main de Lù Cāng et la tira violemment vers le bas. Ensuite, il lâcha la verge de Lù Cāng qu’il tenait dans sa main droite, puis il se frotta rudement contre lui avec sa propre longueur. Sa main désormais libre s’insinua perfidement à l’intérieur de Lù Cāng par l’arrière, le pénétrant ainsi de force avec ses doigts de manière répétée. Soudain, ses doigts s’arrêtèrent sur une zone sensible à l’intérieur de lui et il appuya…
Sous une stimulation aussi impitoyable, Lù Cāng perdit tout sens de gêne. « Ah, ah, non, non ! Ah là, ah non, non – Ne fais pas ça, ne fais pas ça ! »Épargne-moi… Je t’en prie, épargne-moi… Arrête, je t’en supplie… » Lù Cāng était tout simplement submergé de plaisir, au point qu’il ne pouvait plus parler. À la fin, il ne put que le supplier en criant pour obtenir sa clémence.
Ayant grandi dans le palais royal, ce genre de jeu sexuel était monnaie courante pour Jìng. Bien sûr, il savait très bien que le « non » de Lù Cāng était en réalité une réaction due au plaisir qu’il recevait*. Quant à lui, entendre Lù Cāng crier de douleur ne faisait que l’exciter davantage. Il donna à cette région sensible un pincement agile. Sans surprise, Lù Cāng laissa échapper un cri irrépressible, puis tout son corps trembla violemment, puis s’immobilisa…
(Note de Ruyi : Euh, mon gars… Je ne suis pas sûr qu’il soit contentant… Je n’imagine pas les gens du palais ce qu’ils doivent vivre… Est-ce qu’on peut être sadique comme ça… En plus, il dit que c’est monnaie courante ! Yaahhhhhh ! ! ! O(TヘTo) )
« Déjà ? » Un sourire diabolique et moqueur apparut sur le visage de Jìng, il ne jeta aucun regard vers l’expression d’agonie et de honte sur le visage de sa victime après que celui-ci ait joui. Au lieu de cela, il se contenta de passer sa main sous son corps pour le retourner.
« Qu-Qu’est-ce que tu fais… » Complètement impuissant et vulnérable à cause de l’orgasme qu’il avait eu, Lù Cāng n’avait pas d’autre choix que de laisser Jìng faire ce qu’il voulait avec son corps. Contrainte sur le ventre, allongée sur les couvertures satinées du lit, sa position était pathétique et humiliante. « Pourquoi fais-tu tout ça— »
Jìng tira sur sa taille, soulevant le bas de son ventre vers le haut. Lorsque Lù Cāng sentit une fois de plus son bas du corps être saisi et ferma les yeux de peur, impuissant face à la situation dans laquelle il se trouvait. Vu ce qu’il avait vécu la dernière fois, il savait déjà que, bien qu’ils soient tous les deux des hommes, il existait aussi de nombreuses façons de se faire humilier…
Mais ce qui se passa par la suite était loin de ce qu’il avait vécu la dernière fois. Il sentit une soudaine fraicheur près de son intimité, suivi d’un chaud doigt entre en lui. À la grande surprise de notre bandit, son assaillant avait utilisé un lubrifiant doux et apaisant.
“Shhhh, ne dit rien. » Les doigts tournant doucement à l’intérieur de son corps. On aurait dit que Jìng se demandait si le lubrifiant avait déjà couvert chaque recoin à l’intérieur de lui.
Sentant les muscles sous ses doigts se détendre et s’ouvrir complètement… Jìng le pénétra sans l’avertir. Grâce au lubrifiant, il réussit à rentrer profondément dans son xxx* —encore enflé par violente pénétration de la dernière fois — en l’espace de quelques secondes.
(Note de Ruyi : Bon, la censure ne vient pas de moi, mais de l’auteur… La plupart des auteurs chinois les plus audacieux choisissent d’utiliser cela. Cela a plus d’une signification (évidemment, ça peut signifier plusieurs choses… ), mais vous devriez être capable de deviner d’après le contexte. Après tout ce qu’il a mis dans son livre, ce n’est pas que ça qu’il devrait censurer ┐( ˘ 、 ˘ ) ┌)
« Ah— » Bien que Lù Cāng avait déjà subi bien pire que ce qu’il vivait en ce moment, il ne put supporter le gros xxx qui envahit son intérieur. Ne pouvant plus le supporter, il cria et contracta son xxx de douleur.
« Qu’est-ce que tu fais ? ! Arrête de serrer ! » Jìng donna quelques fessés, assez douloureuses, à Lù Cāng, n’arrivant pas à supporter prison dans lequel son xxx se trouvait.* Puis il força Lù Cāng à se relaxer.
(Note de Ruyi : Qui t’a envoyé… )
« Ça fait mal… » Un grognement profond et tendu s’échappa de sa gorge. Lù Cāng sentit quand Jìng s’est mis à faire des va-et-vient en lui. L’extrémité de ses intestins, incapable de résister aux frappes continues de la dure longueur, se mit également à palpiter.
Jìng s’était déjà perdu alors qu’il pénétrait violemment dans le corps en dessous de lui. En tant que souverain impérial, il avait partagé le lit avec d’innombrables personnes. Même les hommes les plus fins et les plus séduisants, légendaires pour leur expérience et leur expertise au lit, avaient fini en tas sur son lit impérial. Mais Lù Cāng était un artiste martial, ses muscles exquis et son intérieur préservé, quelque chose que ces autres hommes, depuis longtemps « brisés », ne pouvaient espérer égaler. En regardant les puissants et élégants muscles dorsaux se contracter à chaque plongée sauvage, il vit des perles de sueur de la taille d’un grain traverser la peau couleur miel du corps purement masculin de Lù Cāng. L’odeur sensuelle de sexe imprégnait l’air… Jìng n’était plus en mesure de se contrôler, totalement envoûté jusqu’au tréfonds de son cœur.
« Tu es… Effrayant, » remarqua Lù Cāng, constatant avec étonnement l’endurance impressionnante de Jìng qui mettait tous les autres hommes à l’épreuve. Constatant avec chagrin qu’il était incapable tenir même à moitié aussi longtemps que jìng au lit, fit monter une vague de jalousie dans le cœur de Lù Cāng.
(Note de Ruyi : D’où il trouve le temps d’être jaloux… (¬ ¬) )
« Ah, vraiment — » Jìng, qui haletait d’extase, accéléra soudainement le rythme de ses va-et-vient. « On dirait que tu as encore de l’énergie pour parler, hein ? Pas vrai !”
« Ah—Ah— » Lù Cāng était vraiment impuissant face à l’intensité de ses coups de butoir. Le bras qui soutenait tout son corps tremblait dangereusement. Ses entrailles étaient remuées au point que son cœur et ses poumons étaient pleinement tourmentés de douleur. Mais Jìng maintenait fermement ses reins dans une étreinte mortelle et il lui pinça cruellement un mamelon. Les cris qui sortaient de la gorge de Lù Cāng se rapprochèrent de plus en plus à des cris aigus.
« Lâche-moi ! Lâche-moi ! ! ! Je ne peux plus supporter, je n’en peux plus ! ! ! » Le bras de Lù Cāng ne pouvant plus supporter les attaques implacables de Jìng ; il s’effondra enfin sans défense sur le lit, les larmes coulant incontrôlablement sur les draps en satin. Mais Jìng refusait toujours de lâcher prise, continuant à aller et venir dans l’homme qui s’était affaissé sur le lit. La torture semblait s’étirer durant de nombreuses minutes…
Après dieu ne sait combien de temps, au moment précis où Lù Cāng pensait qu’il allait mourir, Jìng poussa soudain un cri étouffé. Plusieurs puissants jets de fluide chaud jaillissent, inondant immédiatement tout l’intérieur de Lù Cāng.
Lù Cāng n’avait même plus la force de crier ; il ne pouvait que laisser la chaleur déshonorante se propager librement, froissant ses entrailles comme si elle cherchait à submerger tout son corps.
« Hngh… » Après s’être agité ainsi pendant trois fois d’affilée, Jìng fut enfin épuisé.
Les deux étaient étendus négligemment sur le lit, faibles et épuisés. Le corps d’une blancheur de neige de Jìng et de longs membres élancés à la peau couleur miel de Lù Cāng étaient entremêlés. Les draps de satin également emmêlés et enroulés dans un désordre sans nom. La pièce entière était imprégnée d’une lascivité piquante qui ne pouvait être dissipée.
« Je ne t’ai toujours pas demandé ton nom… » C’était toujours Jìng qui se remettait en premier. Celui-ci s’était redressé et il regarda de haut Lù Cāng, qui était étendu sans force sur le lit.
« Lù… Cāng… » Le son de sa voix était doux comme un soupir. Mais au moment où Lù Cāng ouvrit la bouche, Jìng engagea ses lèvres et sa langue. Après un entrelacement passionné de lèvres et de dents, Jìng concentra son regard sur les yeux embués de Lù Cāng. « Appelle-moi Jìng.”
« Jìng — » Lù Cāng se débattit pour ouvrir les yeux, mais réalisa que l’homme avait déjà quitté le lit et qu’il était en train de s’habiller rapidement.
Lù Cāng fut brusquement réveillé de sa transe et se précipita en disant, « Ah, l’antidote — tu ne m’as pas encore donné l’antidote ! » La peur le fit bondir du lit, fixant du regard la beauté masculine qui, une fois de plus, avait réussi à l’humilier.
« Antidote ? Ne t’ai-je pas déjà donné l’antidote ? » Jìng ne faisait attention qu’à enfiler ses vêtements, qui étaient toutes blanches, recouverts de broderies finement détaillées.
Lù Cāng n’était pas d’humeur à admirer ses beaux vêtements. Il se traîna hors du lit, ne se souciant même pas lorsque le drap de satin blanc glissa de son corps. « Toi– Toi ! Ne plaisante pas ! Quand est-ce que tu m’as donné — » Il voulait s’approcher de Jìng, mais ses deux jambes molles ne pouvaient plus le soutenir et cédèrent malgré lui. Il s’assit par terre.
Jìng sourit légèrement et glissa sa main à l’intérieur de l’endroit où ils ont été proches la moitié de la nuit. Puis il retira sa main couverte de fluide corporel et la brandit devant le visage de Lù Cāng pour qu’il voie. « N’est-ce pas l’antidote ? Quoi ? Tu trouves toujours que ce n’est pas assez ? Je t’en ai déjà tant donné… »
« Quel… Quel genre d’antidote est-ce ? ! » Fixant incrédule le fluide sur les doigts de Jìng, les yeux de Lù Cāng s’élargirent comme s’il se battait pour sa vie. « Toi… Toi… » Tellement enragé qu’il ne pouvait plus parler, il se soutint malgré les protestations de son corps, voulant se forcer à se lever.
« Tu ne me crois pas ? Eh bien, d’accord, » Jìng plongea sa main dans le devant de sa robe et récupéra une autre pilule verte. Elle ressembla à celle de la dernière fois puis il la jeta devant Lù Cāng. « Celle-ci a été secrètement fabriquée dans le palais royal ; elle est vraiment précieuse. Mais peu importe, je t’en donne une. Va l’essayer sur un chien ou ce que tu veux et tu verras.”
« Le quinzième du mois prochain, reviens me voir ici, » lui dit-il froidement tout en resserrant sa dernière ceinture.
Lù Cāng ne pouvait littéralement pas croire ses oreilles. « Qu’as-tu dit ? Ce n’était pas censé me guérir en une fois ?”
(Note de Ruyi : Il s’est fait douiller… Mais salement… )
Regardant Lù Cāng avec pitié comme s’il contemplait quelqu’un d’ignorant, Jìng lui dit, « Comment pourrais-je faire cela ? Ne t’ai-je pas dit que ce médicament était précieux ?”
« Mais… Mais… » Lù Cāng paniquait tellement qu’il n’arrivait plus à parler clairement. « Je vis à Hangzhou ! Tu t’attends à ce que je passe dix jours chaque mois à voyager de Hángzhōu à Tóng ān, puis encore dix jours de Tóng ān à Hángzhōu ? ! Juste pour… Juste pour que… Je dois venir à la capitale pour que tu… Pour que tu… ”
« Pour que je te baise, » Jìng esquissa un sourire glacial, son expression demeurant inchangée. « C’est ton problème. » Mais c’est ton choix.* »Il essuya ses doigts souillés sur le visage de Lù Cāng avant de faire un grand bond et de disparaître par la fenêtre…
(Note de Ruyi : À quel moment a-t-il eu un choix… (ಠ_ಠ) )
Lù Cāng se retrouva vidé et au bord des larmes alors qu’il agrippait impuissamment la pilule. Il s’effondra pitoyablement sur le sol, près du lit. Tout ce qui restait étaient ces mots qui l’avaient humilié au-delà de toute pensée et qui tourbillonnaient dans sa tête. :
Va l’essayer sur un chien ou quelque chose…
Viens le quinzième de chaque mois pour moi…
Seigneur ! ! ! !
・.ʚ Voilà la fin du chapitre ɞ .・
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