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Chapitre 09
par Ruyi ♡« Je reviens après ma douche. »
Gyuwon gémit en entendant ces mots, mais ce n’était pas pour s’opposer à ce qu’Hwayoung venait de dire. C’était simplement une réaction instinctive, car il ne supportait plus le liquide qui tourbillonnait dans son estomac. Lorsque la porte de la salle de bain se ferma, Gyuwon frissonna et grogna.
« Il n’y a pas de raison de mesurer le temps, alors je vais ajouter encore une dose. »
Sur ces mots, Hwayoung lança la seringue vers Gyuwon. Il lui sourit, tandis qu’il se mettait en position pour son lavement.
« Fais-le », dit Hwayoung.
Gyuwon frotta sa joue contre le tapis. Celui qu’ils avaient acheté ensemble, ce jour-là, quand ils étaient sortis pour acheter de la peinture. Hwayoung, après avoir hésité devant plusieurs modèles, lui avait pressé les tapis contre la joue et lui avait demandé sérieusement lequel il préférait. À l’époque, Gyuwon avait répondu sans trop y réfléchir. Maintenant, il comprenait enfin pourquoi cette question lui avait été posée.
Un frisson de douleur le traversa, mais il continua de frotter sa joue contre la matière douce. Lors du premier lavement, Hwayoung lui avait inséré un gode en caoutchouc. Sur le moment, Gyuwon avait trouvé cela humiliant. Pourtant, maintenant, il réalisait que c’était presque une faveur. Car cette fois, rien ne bouchait son entrée, et il devait lui-même serrer les fesses, crispant ses doigts dans les poils du tapis.
La douleur tourbillonnait en lui, implacable. Tantôt violente et fulgurante, tantôt lente et insidieuse, avant de revenir l’engloutir comme une vague déferlante. Il ne contrôlait plus ses gémissements. Chaque mouvement le torturait un peu plus, comme si sa chair même refusait de lui obéir. Rampant avec peine, il se traîna jusqu’à la porte de la salle de bain et écouta.
Le bruit de l’eau résonnait, régulier. Parfois, il s’interrompait, et Gyuwon retenait son souffle, s’attendant à voir Hwayoung sortir, une serviette nouée autour des hanches, ses cheveux encore humides. Mais à chaque pause, l’eau reprenait aussitôt son cours. Ce son lui rappelait celui d’une chasse d’eau, et chaque fois, son envie d’aller aux toilettes devenait plus insoutenable.
« Mmph… Mmmm… Hmmmph… ! »
Il laissait échapper de petits gémissements incontrôlables à chaque reprise du bruit. Quand est-ce que Hwayoung finirait sa douche ? Que faisait-il ? Gyuwon essayait de penser à autre chose, mais tout le ramenait à la même question : quand aurait-il enfin le droit d’aller aux toilettes ? Il était en sueur froide.
Enfin, la porte s’ouvrit. Hwayoung sortit, nu, encore perlé d’eau, sans avoir pris la peine de se sécher complètement. Mais Gyuwon, engourdi par l’attente et la douleur, ne remarqua même pas ce détail.
Rampant jusqu’à lui, il posa les lèvres sur le dessus de son pied, le léchant avec soumission. Ses larmes coulaient toujours.
« Meow. »
C’était la meilleure supplication qu’il pouvait offrir.
« Bon… Contrairement aux chiens, les chats sont impatients. Mais là, c’est trop, même pour un chat. Ce petit derrière n’a aucun self-control… Quel coquin », murmura Hwayoung.
Le sol de la salle de bain était encore humide. Il aurait pu être boueux que ça n’aurait rien changé : Gyuwon aurait rampé dessus avec la même ferveur. Courbé sous l’effet d’une douleur atroce, il pénétra dans la pièce.
« Je sais que les chats utilisent généralement une litière. Mais toi, tu es un chat spécial… Tu sais très bien comment utiliser un sol carrelé, pas vrai ? » demanda Hwayoung, un sourire dans la voix.
Gyuwon serra les dents, ses larmes roulant en grosses perles le long de ses joues. Il leva vers lui un regard pitoyable, mais Hwayoung resta implacable.
« Qu’est-ce que tu attends ? Dépêche-toi. À moins que tu veuilles que je te fasse retenir encore plus ? »
Le « chat » n’avait pas d’autre choix. Il s’accroupit lentement sur le sol, tremblant d’humiliation. Hwayoung rit, un son bref, léger.
« Bon, d’accord, d’accord… »
Il gloussa en secouant légèrement les épaules, mais ce n’était pas une moquerie. C’était un sourire sincère, et Gyuwon ne comprenait pas pourquoi. Il avait honte, terriblement honte, mais il savait que s’il cachait son visage, Hwayoung ne ferait que se montrer plus cruel. Alors, il ne bougea pas, malgré son envie de disparaître.
Pourtant, il hésitait. Son corps était à bout, et il n’arrivait plus à se retenir. Le premier son qui s’échappa fut un simple goutte-à-goutte. Puis, presque aussitôt, un bruit plus brutal retentit, et l’eau en lui s’écoula. Au même instant, une larme solitaire glissa sur sa joue*.
(Note de Ruyi : Moi aussi… Mais je n’abandonnerai pas la raduction de ce roman.)
Hwayoung ne faisait pas ça pour la souillure. Ce qu’il aimait dans ces lavements, c’étaient les larmes de Gyuwon. Car il s’agissait d’un acte fondamentalement intime et, pour un homme, d’autant plus humiliant. Les hommes étaient censés conquérir, se prouver, non pas exposer leur vulnérabilité.
Gyuwon se releva, le regard rougi, les yeux gonflés par l’effort de retenir ses pleurs. Hwayoung, amusé, baissa les yeux vers l’eau qu’il venait de libérer et ricana doucement.
« Alors tu t’y étais préparé… Tu l’as fait tout seul ? »
Gyuwon hocha la tête en silence, attrapant la pomme de douche pour rincer le sol. Il ne supportait pas la honte des lavements répétés. C’est pourquoi, avant de venir voir Hwayoung, il s’était préparé à l’avance, s’assurant qu’il ne libérerait que de l’eau devant lui. L’idée d’exposer ses excréments à quelqu’un d’autre lui était insupportable.
« Qui t’a dit que tu pouvais décider par toi-même ? » lâcha Hwayoung d’un ton posé.
Puis, d’un simple geste, il désigna le canapé.
« Va là-bas et allonge-toi sur le ventre. »
Gyuwon baissa la tête, docile. Pourtant, comme on le lui avait appris, il tendit instinctivement son derrière à Hwayoung après s’être nettoyé, attendant sa validation. Un geste presque mécanique, comme un enfant montrant ses dents après s’être brossé.
Hwayoung fit mine de l’examiner avec sérieux, non pas par nécessité, mais simplement pour l’humilier un peu plus. Puis, d’une claque sur les fesses, il mit fin à l’attente.
Gyuwon se raidit sous l’impact, mais Hwayoung savait que ce n’était pas la douleur qui le faisait frémir. Après un dernier coup d’œil à la salle de bain, il éteignit la lumière, referma la porte et se dirigea vers l’étagère où il cachait ses paddles et ses fouets.
Le fait que Gyuwon soit un débutant compliquait déjà les choses. Mais qu’il ait été mercenaire auparavant ajoutait une toute autre dimension. Un niveau moyen suffira-t-il vraiment ? Il aurait aimé en discuter avec lui, mais Gyuwon était bien trop réservé pour oser mener une telle conversation.
Hwayoung attrapa finalement son paddle favori et leva les yeux vers lui. À quatre pattes, Gyuwon tremblait légèrement. Il était tendu, fébrile.
D’un geste lent, il fit glisser le bout du paddle de sa nuque jusqu’à ses fesses. À chaque contact, la peau frissonnait. Malgré ses tremblements, Gyuwon arqua légèrement le dos, offrant son corps par pur réflexe. Il savait ce qui allait suivre.
Lorsque le paddle effleura la raie de ses fesses, un halètement lui échappa. Hwayoung se pencha à son oreille et murmura :
« Tu as hâte de recevoir une fessée ? »
Gyuwon garda le silence. Hwayoung mordilla le lobe de son oreille, le forçant à réagir. Il retint un gémissement, mais pas assez longtemps.
« Hmph… »
« Réponds-moi. »
Gyuwon savait qu’il ne devait pas tarder. S’il ne parlait pas dans les trois secondes, Hwayoung lui ferait payer ce silence. Alors, d’une voix faible, il murmura :
« Oui… »
« Oui quoi ? »
Hwayoung était exigeant. Gyuwon serra les dents, les joues brûlantes, et compléta :
« J’ai hâte de recevoir une fessée de votre part. »
Un baiser rapide sur sa joue vint récompenser son effort. Mais à peine eut-il le temps de savourer cette brève douceur que le paddle s’abattit violemment sur ses fesses.
Le choc lui coupa le souffle. Ses muscles, jusqu’alors tendus, se contractèrent davantage sous l’impact.
« Tu es mon esclave. Un chat esclave », chuchota Hwayoung. « Tu dois me demander la permission pour tout : jouir, manger, pleurer… tout. Qui t’a permis de faire un lavement sans mon accord ? »
Un deuxième coup tomba aussitôt. La première claque avait piqué, mais à présent, c’était une chaleur sourde et lancinante qui s’installait, un feu qui le consumait de l’intérieur. La douleur et le plaisir s’entremêlaient si étroitement qu’il ne savait plus les distinguer. Il voulait fuir, se presser contre une surface froide pour apaiser cette brûlure…
Mais avant qu’il ne puisse y penser, Hwayoung s’arrêta. Sa main caressa doucement la peau rougie. Une caresse à peine perceptible, pourtant chaque frôlement envoyait des ondes de picotements à travers tout son corps.
Puis, sans prévenir, la fessée reprit. Une troisième série, plus intense encore. À bout de souffle, Gyuwon finit par lâcher, dans un murmure suppliant :
« Miaou… »
Hwayoung haussa un sourcil, moqueur.
« C’est ridicule. On dirait un homme qui imite un chat. »
Il attrapa son menton et lui donna une claque sur la joue, pas assez forte pour faire mal, juste assez pour l’humilier. Gyuwon, pourtant, s’appliqua.
« Miaou… »
Un sourire en coin, Hwayoung lui tapota la tête, l’air satisfait.
« Pourquoi ? » demanda-t-il.
Gyuwon inspira profondément, puis souffla dans un murmure honteux :
« S’il vous plaît… Laissez-moi me retenir avec mes mains. »
Gyuwon supplia si pitoyablement que Hwayoung, amusé, finit par éprouver une pointe de pitié pour lui.
« Tu ne peux pas te retenir sans ta main ? De toute façon, tu ne peux pas jouir si je ne te baise pas par derrière. »
Sa voix était douce, presque tendre, mais ses mots portaient une ironie mordante. À cette provocation, Gyuwon murmura d’un ton hésitant :
« Ma-mais… J’ai laissé échapper un peu… »
Hwayoung rit légèrement.
« Ce derrière coquin en est donc arrivé à jouir juste avec une fessée, sans même être touché ailleurs ? »
Sa voix se fit railleuse. Puis, enfin, il lui accorda la permission.
Aussitôt, Gyuwon souffla un « Merci » précipité et referma hâtivement ses doigts autour de son sexe. La sensation de sa propre main, après toute cette attente, le fit frémir. Un vertige le prit, un besoin irrépressible de se caresser. Instinctivement, il fit quelques mouvements, mais une douleur fulgurante sur ses fesses le coupa net.
Un cri lui échappa. Il avait failli jouir sur-le-champ, mais se retint in extremis. S’il avait cédé, Hwayoung aurait été furieux.
« Je ne t’ai pas donné la permission de te satisfaire. »
La voix grave de Hwayoung résonna à son oreille, menaçante.
« Si tu refais ça sans demander, je vais t’apprendre la discipline. Cinquante onces de liquide dans ton petit cul alors qu’il peut à peine en contenir douze. Et je te fouetterai avec une cane* jusqu’à mettre ta chair à vif. »
(N/T : C’est un long bâton mince utilisé dans le BDSM pour des jeux de pouvoir, est une pratique de fessée qui varie en intensité, de léger à intense. Disponible en différents modèles dans les boutiques spécialisées, elle s’intègre dans divers scénarios fétichistes, adaptée aux préférences de chacun.)
Il marqua une pause, savourant son effet.
« Une douche dorée, peut-être ? Ça te plairait ? C’est ce genre de jeu dur que tu cherches ? »
Il accompagna ses paroles d’une pression ferme sur ses fesses.
Pris de panique, Gyuwon secoua frénétiquement la tête. Il savait que, dans l’univers du BDSM, les menaces les plus redoutées par un sub étaient celles qui impliquaient un autre Dom ou un abandon pur et simple. Mais Hwayoung ne franchissait jamais cette ligne. Il n’utilisait que des menaces qu’il était réellement prêt à mettre à exécution.
« Très bien. Alors dis-moi… Combien de coups dois-tu recevoir pour être pardonné ? »
Il savait que Gyuwon donnerait un chiffre élevé, exagérant lui-même sa faute. Mais c’était une façon pour Hwayoung d’évaluer ses limites, de tester jusqu’où il pouvait aller.
À cette question, Gyuwon ne trembla pas à cause de la douleur qu’il savait imminente, mais parce qu’il avait peur d’avoir déçu Hwayoung. Cette idée lui était insupportable.
Il baissa les yeux et murmura :
« Autant de fois que je le mérite… »
Hwayoung sourit, satisfait. Gyuwon voulait désespérément lui plaire. C’était évident dans son regard, dans sa voix soumise.
Le voir ainsi, agenouillé, les fesses rougies et marquées, susurrant cette phrase d’une voix hésitante… Cela éveilla un instinct protecteur chez Hwayoung.
Un autre Dom en profiterait. Un salaud l’exploiterait, le briserait.
Le BDSM n’était pas un jeu sans risque. Trop souvent, les limites entre le plaisir et l’abus se brouillaient. Il ne pouvait pas laisser cela arriver à Gyuwon. Il se promit de ne jamais permettre à qui que ce soit d’autre de poser la main sur lui.
Il est à moi.
Bien sûr, c’était aussi une manière pour lui de se rassurer. La vérité, c’était qu’il ne voulait tout simplement pas perdre Gyuwon. Tout le reste n’était que des justifications pour se convaincre lui-même.
Hwayoung effleura ses fesses du bout des doigts et murmura, presque pensif :
« Et si j’avais envie de te laisser une cicatrice permanente ? »
Il ne savait même pas pourquoi il posait cette question. Ce n’était pas une demande anodine, pas un simple test. C’était le genre de chose qui faisait rompre un contrat de confiance entre un Dom et un sub.
Mais Gyuwon ne broncha pas. Il n’hésita pas.
Avant même que trois secondes ne s’écoulent, il hocha la tête.
« J’accepte. Je le ferai. »
Sa voix était désespérée, tremblante. Les doigts de Hwayoung glissèrent lentement entre les fesses de Gyuwon, taquinant son intimité.
« Je peux le laisser ici ? » demanda-t-il, un sourire dans la voix.
« Oui… Peu importe où… ! »
Gyuwon était au bord des larmes. Hwayoung déposa un baiser doux sur son dos avant de murmurer :
« Je vais être généreux. Ça suffira. »
Ses doigts frôlèrent un endroit précis. Son mamelon.
Il ne lui fallut qu’un instant pour comprendre. Hwayoung allait lui percer le téton.
Un frisson le parcourut, non pas de peur, mais d’une humiliation mêlée d’excitation brûlante. L’idée d’un bijou enfoncé dans sa chair faisait vibrer son corps entier, et son sexe tendu palpitait douloureusement. Il voulait jouir immédiatement, sans attendre, sans permission. Il se mordit la lèvre, tentant de se contenir, et cambrant son dos comme un chat, tremblant d’envie. S’il relâchait ne serait-ce qu’un instant sa volonté, il savait qu’il allait céder.
Il n’avait même pas besoin de se toucher. Ses mains, pourtant immobiles, étaient déjà poisseuses de sperme.
Les larmes roulèrent sur ses joues. Il serra les dents pour les retenir, mais quelque chose effleura son œil. Surpris, il leva la tête.
Hwayoung se tenait devant lui.
Et juste devant son visage se dressait son sexe, énorme, gonflé d’excitation.
Il haletait presque, excité autant par l’acte que par l’autorité qu’il exerçait sur lui. Sa voix vibra dans l’air chargé de tension.
« Tu peux l’avoir. »
À peine avait-il donné son autorisation que Gyuwon se précipita, prenant avidement son sexe en bouche. Ses lèvres, déjà fendillées par l’intensité de leurs rencontres précédentes, s’étirèrent autour de lui. Il n’y avait jamais eu de temps pour guérir.
« Ah… Ugh… » gémit Hwayoung en l’enfonçant plus profondément. « Tu es bon… Bien meilleur qu’avant… Tu suces vraiment bien… »
Encouragé par ce compliment sincère, Gyuwon redoubla d’efforts. Il fit exactement comme on lui avait appris : il serra ses lèvres, enveloppa le bout de sa langue, ouvrit sa gorge et bougea sa tête en rythme. Il voulait lui donner du plaisir, le pousser à l’extase, lui prouver qu’il était digne de lui.
Hwayoung jouit sans retenue. Gyuwon avala tout, docilement.
Le Dom rit doucement avant de donner un nouvel ordre :
« Assieds-toi sur le canapé. »
Gyuwon s’exécuta, toujours au bord de l’orgasme, retenant son propre plaisir à grand-peine. Il maintenait son sexe dressé pour ne pas jouir avant d’en recevoir la permission.
« Écarte les jambes. »
Il obéit sans hésiter.
« Plus. »
Gyuwon ouvrit les jambes encore plus largement, les levant même en l’air. Exposé, vulnérable, il attendait la suite. Son sexe, gonflé et veiné après une attente interminable, palpitait sous la frustration. Son souffle était court.
« Enlève tes mains. »
À ces mots, Gyuwon obéit instantanément.
Il était tendu, luttant contre le besoin viscéral de jouir. Un mince filet de sperme glissa déjà le long de son sexe, preuve de sa torture silencieuse. Pourtant, cela n’apportait aucun soulagement, aucune satisfaction.
« Masturbe-toi. »
Dès qu’il entendit l’ordre, Gyuwon glissa ses doigts entre ses fesses. Il les enfonça en lui, trois d’un coup, ouvrant son intimité sans la moindre retenue.
Mais il ne pouvait pas toucher son sexe. Hwayoung le lui avait interdit.
« S’il vous plaît… » murmura-t-il d’une voix suppliante.
Il connaissait déjà la réponse, mais il ne pouvait s’empêcher de demander.
« Mmph… Mmm… Hmmmph… Ang… S’il vous plaît… Permettez-moi… Ugh… »
Il luttait pour former une phrase cohérente, haletant, perdu dans l’extase et la frustration. Mais il savait que sa supplication seule suffisait à Hwayoung.
Le Dom l’observa un instant, savourant la scène. Il était magnifique ainsi, tendu sous le désir, suppliant, prêt à exploser au moindre mot de sa part.
Finalement, dans un élan de générosité, Hwayoung céda.
« Tu peux jouir maintenant. »
Et à cet instant, un gémissement incontrôlé sorti de la gorge de Gyuwon.
« Aaaaaah… Aaang… Ma-maître… Haaaa… Ang ! »
Sans qu’il ait besoin de se toucher, son plaisir explosa, un liquide translucide jaillissant de son sexe, emportant enfin la tension qui le consumait.
Ce chapitre vous est présenté par la Dragonfly Serenade : Traductrice • Ruyi ⋄ Correctrice • Ruyi
・.ʚ Voilà la fin du chapitre ɞ .・
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